HIMRA entre dans l’histoire : « BIG AKA 4 AKA KAI » dépasse 12,9 millions de streams en moins de 3 mois
✍🏾 Par Timité Lassana | Sopaiya Magazine
Abidjan, juin 2025 – Le rap ivoirien vient de franchir une étape historique. Et ce n’est ni un buzz éphémère, ni un coup de chance. C’est une performance maîtrisée, solide, durable : HIMRA, artiste au style audacieux et à la plume affûtée, vient de réaliser un exploit jamais vu dans l’histoire du rap ivoirien (voire ouest-africain) : 12 908 657 streams pour un seul projet en 2 mois et 23 jours, sur une seule plateforme de streaming.
📈 Un raz-de-marée musical porté par des chiffres clairs
Intitulé « BIG AKA 4 AKA KAI », l’album est sorti en une seule fois, sans découpage en singles espacés – un choix artistique risqué qui a pourtant été massivement validé par le public. En témoigne ce tableau impressionnant :
🎧 Titre Écoutes
NUMBER ONE (feat. Minz) 3 183 882
BATON NON NON 1 863 388
I BORI LA (feat. Enfant Noir) 1 523 938
DAGBACHI 1 444 493
G3N3RATION N3RF (feat. Kerchak) 1 310 717
K1K1 1 139 116
NOUVEAU BOSS 1 002 908
LE TEMPS (feat. Ismaël Isaac) 731 086
CIEL 709 129
🔟 7 titres sur 9 dépassent le million d’écoutes. C’est non seulement une rareté, mais une première absolue pour un projet rap ivoirien.
Une vision artistique ambitieuse
Ce n’est pas qu’une affaire de chiffres. « BIG AKA 4 AKA KAI » est aussi une œuvre riche, hybride et intelligente, qui croise les générations, les genres et les frontières.
Avec Minz (Nigeria) : un hit afro pop mondial avec “Number One”.
Avec Kerchak (France) : une connexion drill explosive sur “G3N3RATION N3RF”.
Avec Enfant Noir : la relève du rap ivoire sur “I BORI LA”.
Avec Ismaël Isaac : un pont entre reggae et rap sur “LE TEMPS”, hommage à la sagesse.
🎙️ Chaque featuring est stratégique, utile, complémentaire, et non un simple « nom pour faire joli ».
HIMRA, une figure centrale du rap ivoirien
Loin des artistes qui explosent un temps avant de disparaître, HIMRA s’impose comme une force centrale, durable et structurante pour la scène ivoirienne :
Il propose une identité musicale forte, alliant conscience sociale, charisme, imagerie urbaine et ancrage culturel.
Il domine le streaming avec constance.
Il rassemble la rue, les mélomanes, la diaspora et les critiques.
🗣️ Et surtout : il prouve que le rap ivoirien peut rivaliser avec Paris, Lagos ou Kinshasa.
👑 Une réussite qui force l’industrie à réagir
« Bravo HIMRA, l’industrie ne peut plus faire semblant. »
Cette phrase revient souvent dans les commentaires de fans et d’observateurs.
Pourquoi ? Parce qu’aucun label, aucun programme télé, aucun label de major ne peut plus ignorer un artiste qui affiche un tel score avec une telle indépendance artistique.
12,9 millions de streams, aucun hit fabriqué, aucun single avant la sortie : HIMRA impose le respect et l’admiration.
🗣️ Réactions et émotion du public
Les plateformes sociales sont inondées de réactions depuis l’annonce des chiffres :
🎧 « Lui au moins, il travaille et il livre ! »
💬 « Le meilleur projet 2025, c’est lui sans discussion. »
❤️ « C’est ça qu’on attendait d’un rappeur ivoirien : pas seulement du bruit, mais du vrai impact. »
🔗 À ÉCOUTER D’URGENCE
📍 HIMRA sur Spotify
🎧 Si vous ne l’avez pas encore écouté, vous passez à côté d’un tournant du rap africain.
📌 Résumé :
💿 Album : « BIG AKA 4 AKA KAI »
📅 Temps : 2 mois et 23 jours
📊 Écoutes : 12 908 657 streams
7 titres à +1 million
🎙️ Featurings : Minz, Kerchak, Enfant Noir, Ismaël Isaac
Une œuvre globale, enracinée et ambitieuse
👉🏾 HIMRA ne fait pas que rapper. Il bouscule, rassemble, et surtout, il écrit l’histoire. Et chez Sopaiya Magazine, on ne peut que le saluer pour ça.
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