La Vitesse Noire se confie sur son expérience douloureuse avant sa chirurgie

« Je pleurais trop, tout le temps », avoue La Vitesse Noire avec une sincérité touchante. Dans un moment de grande vulnérabilité, elle raconte comment la douleur la submergeait, au point de ne pouvoir contenir ses larmes même au téléphone avec son mari.
« Quand j’étais au téléphone avec mon mari, je pleurais trop, je me plaignais… Arrivé un moment, quand je lui ai dit ‘je veux’, il m’a répondu ‘ok, si ça va te rendre heureuse et que tu vas arrêter de pleurer devant moi, d’accord’ », révèle-t-elle.
La douleur, aussi minime qu’un mal de dents, peut devenir insupportable, presque insurmontable. Pour La Vitesse Noire, ce fut une épreuve où la force mentale est aussi cruciale que le soutien des proches.
« Même un mal de dents, ça peut te tuer. Donc, du coup, quand tu vas là, faut mettre dans ta tête que ta vie est dans la main de Dieu », conclut-elle, rappelant la foi qui l’a portée durant cette étape difficile.
🙏 Sopaiya Magazine salue le courage de La Vitesse Noire, cette honnêteté qui fait écho à tant de personnes confrontées à la douleur et à la peur. Que son témoignage soit un message d’espoir et de résilience pour tous ceux qui traversent des moments similaires.