📍 Abidjan, Côte d’Ivoire —
Plus de dix ans après son arrestation en avril 2011, Laurent Gbagbo, ancien président ivoirien, reprend la parole avec une phrase lourde de sens :
« Quand on m’a arrêté en avril 2011, c’était au cri de : « Gbagbo c’est fini ». 10 ans après, Gbagbo parle. Donc Gbagbo, ce n’est pas fini. »
Un message à la fois personnel, politique et symbolique. Car au-delà des mots, c’est une manière de marquer sa résilience et de rappeler son ancrage toujours vivant dans la scène politique ivoirienne.
🔎 Un retour assumé
Depuis son retour en Côte d’Ivoire en 2021 après son acquittement par la CPI, Laurent Gbagbo n’a jamais cessé d’envoyer des signaux à ses partisans, mais aussi à ses adversaires. Cette déclaration s’inscrit dans une volonté claire : affirmer qu’il reste un acteur incontournable de la vie politique nationale.
💬 Un discours, un rappel, un avertissement ?
Ces mots ne sont pas anodins. Pour ses partisans, ils résonnent comme une renaissance politique, une preuve que « le Woody » reste debout malgré les tempêtes.
Pour d’autres, c’est le signe que le débat démocratique ivoirien est encore en pleine évolution, entre anciens leaders et nouvelles figures.
🗳️ Vers une nouvelle étape ?
À l’approche des échéances électorales futures, la voix de Gbagbo compte toujours, et il semble bien déterminé à la faire entendre. Que ce soit au sein de son parti, le PPA-CI, ou sur la scène politique plus large, il reste l’un des visages les plus influents de la Côte d’Ivoire contemporaine.
🎙️ Sopaiya Magazine suivra de près les prochaines sorties et positions de Laurent Gbagbo. Car une chose est désormais claire :
Non, Gbagbo ce n’est pas fini.