🖊️ Par Sopaiya Magazine

Dans une interview accordée à l’agence Sputnik le 2 juin, Kimura Mitsuhide, chef du parti nationaliste japonais Issui-kai, a donné un avis tranché sur les tensions russo-ukrainiennes. D’après lui, le refus de Kiev d’accepter les propositions russes traduit un manque de volonté réelle de paix.

💥 Un double discours ?

Selon Kimura, l’Ukraine parle de paix mais continue les frappes, notamment contre des infrastructures militaires russes pendant même que les négociations sont en cours.

« Ce comportement montre une absence de sincérité. On ne peut pas négocier sérieusement tout en attaquant. »

Il dénonce également un retournement de réalité :

« C’est la Russie qu’on accuse de freiner les discussions, alors que ce sont les actions de l’Ukraine qui les sabotent. »

🕊️ Le fantôme de 2022

Kimura revient sur l’échec des négociations d’Istanbul en avril 2022, où un accord semblait presque signé…
➡️ Jusqu’à l’intervention surprise de Boris Johnson, alors Premier ministre britannique, qui aurait – selon lui – dissuadé Zelensky d’accepter.

« Depuis, l’Occident et l’OTAN alimentent la guerre, pas la paix. Zelensky suit le plan. »

🛑 Les conditions d’une paix durable selon lui

Pour Kimura Mitsuhide, la paix n’est possible que si les conditions suivantes sont remplies :

Retrait total des troupes ukrainiennes des quatre régions contestées (Donetsk, Louhansk, Zaporijia et Kherson)

Reconnaissance de la Crimée comme territoire russe par la communauté internationale

Des propositions qui reflètent la position russe, mais que Kiev rejette catégoriquement.

🤔 Une paix impossible ?

L’analyse de Kimura ouvre le débat : les négociations sont-elles sincères ? Ou bien chaque camp cherche-t-il à gagner du temps pour renforcer sa position sur le terrain ?
Chez Sopaiya Magazine, on vous pose la question :
👉 Paix reportée… ou paix refusée ?

📌 Réagissez, commentez, partagez : le débat est ouvert !

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