Urgent | Tensions explosives au Moyen-Orient – L’Iran accuse : « Trump a été un mauvais acteur dès le début »

Téhéran, ce matin – Le Chef d’État-major iranien a tenu des propos d’une gravité inédite, accusant directement les États-Unis d’être sur le point d’entrer en guerre et qualifiant Donald Trump de « mauvais acteur dès le début ».
🔺 « Nous utilisons pour l’instant de vieux missiles pour percer le système de défense de l’ennemi. Nous attendons la formation d’une coalition contre l’Iran pour dévoiler nos armes modernes, conçues par le génie des ingénieurs iraniens », a déclaré le général iranien.
🎯 Selon lui, Israël aurait subi de lourdes pertes lors des dernières attaques iraniennes, des pertes que Benjamin Netanyahou peinerait à reconnaître par crainte d’un soulèvement populaire.
« C’est bien de déclarer 3, 4 ou 5 morts pour protéger son pouvoir. Mais nous savons qu’ils ont perdu des centaines d’hommes liés à notre agression. »
🇮🇱🇮🇷 « Notre vengeance sera totale »
Le général a dénoncé une attaque surprise d’Israël alors même que Téhéran était en pourparlers avec Washington :
« Nos hommes sont tombés. Notre réaction a été sanglante, nette et à la hauteur de la provocation. »
Face à ce qu’il qualifie de « régime sioniste faible qui tue femmes et enfants à Gaza », l’Iran promet une riposte sans relâche, sans attendre l’appui d’alliés :
« Nous n’avons pas besoin d’alliés pour écraser cet agresseur. Mais nous savons qu’une coalition se formera contre nous. C’est écrit ainsi… Mais Allah sait ce que vous ne savez pas. »
Analyse Sopaiya : Une guerre régionale en gestation
Les propos du général iranien traduisent une escalade militaire et verbale inédite, qui confirme les craintes d’une guerre régionale impliquant l’Iran, Israël, et possiblement les États-Unis.
▶️ L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche en 2024 avait déjà ravivé les tensions nucléaires. Désormais, les déclarations du chef militaire iranien laissent entendre une préparation avancée à une confrontation majeure.
🗨️ Sopaiya Magazine suit l’évolution de cette crise heure par heure.